Pénétrer dans l’intimité la plus obscène des laissés pour compte américains et suivre à la lettre le quotidien des victimes d’un capitalisme sans état d’âme, la photographe Stacy Kranitz en a fait son mode de vie.
Pénétrer dans l’intimité la plus obscène des laissés pour compte américains et suivre à la lettre le quotidien des victimes d’un capitalisme sans état d’âme, la photographe Stacy Kranitz en a fait son mode de vie.