Pénétrer dans l’intimité la plus obscène des laissés pour compte américains et suivre à la lettre le quotidien des victimes d’un capitalisme sans état d’âme, la photographe Stacy Kranitz en a fait son mode de vie.
Pénétrer dans l’intimité la plus obscène des laissés pour compte américains et suivre à la lettre le quotidien des victimes d’un capitalisme sans état d’âme, la photographe Stacy Kranitz en a fait son mode de vie.
Dans Lord Of War d’Andrew Niccol avec Nicolas Cage, un avion à l’abandon dans une plaine d’Afrique se fait démembrer de A à Z en l’espace de quelques heures. À Bangkok c’est une toute autre histoire.
Sur un trottoir, un amas de cartons en guise de toit, un hiver à y laisser sa peau, des pièces de 20 cents dans un gobelet de coca mc Donald en plus des Restos du […]