Hey « tronche de tiramisu »! As-tu vu « face de poulpe »? Par ici banane!


Humour décalé et auto-portraits étranges couverts de sens, le plasticien brésilien Edu Monteiro se camoufle le visage avec des cigarettes, des peluches ou des animaux et cela lui va comme un gant!

Vision oeil de poisson, ouïe de tuyau, odeur de charbon, touché de plume et goût de poivron , dans sa série « Sensorial Self-portraits » Edu Monteiro cherche à manipuler les 5 sens dans une fiction personnelle inspirée d’un masque d’auto-analyse à effet clinique de l’artiste Lygia Clark.

Au delà d’un travail visuel aussi bizarroïde qui bien ficelé, ce basé à Rio de Janeiro, tente une expérimentation corporelle en solo, celle de la redéfinition de son identité esthétique, de son rapport au monde et de sa faculté à souffrir au nom de l’Art!

« Le pire que j’ai pu enduré c’est quand ma tête était enterrée dans le sable, même avec un tuba caché, j’étais certain de mourrir »


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