Adepte de voyeurisme soft/hard et de débauche artistique, l’illustrateur espagnol Juan Francisco Casas propulse ses fantasmes assouvis sur papier, en dessinant des filles à la libido en ébullition.
Non il ne s’agit pas de « porn revenge » mais bien de créations hyperréalistes à partir de photos de soirées intimement torrides. A l’instar d’Helena Hauss, Juan Fransciso Casas est un génie du Bic Crystal (stylo) qui à travers ses portraits gigantesques (jusqu’à 3 mètres), reproduit à la main depuis 2005, ses conquêtes et rencontres au sex-appeal souriant.
« Tout est parti d’une blague consistant à faire quelque chose de si réaliste que cela tromperait l’oeil humain. Ce que je voulais aussi c’est créer au stylo bille et je pense avoir été l’un des premiers en la matière. »
Considéré comme l’un des artistes les plus détonnant en Espagne, Juan Fransciso Casas dépeint avec humour au delà d’une nudité perverse, la génération selfie et pose la question du narcissisme et de l’obsession de soi sur les réseaux sociaux.